lundi 24 janvier 2011

Mercredi 25 Novembre 2009 - Flying Donut’s + Dead Pop Club + Uncommonmenfrommars au Nouveau Casino (Paris)

Là encore au top de l'actu.

Veille de week-end pour moi (oui je suis un enfoiré, mais j’ai eu de nombreux déboire avec une livraison de canapé-lit le lendemain ce qui vous intéresse très peu, je le conçois mais quand même les livreurs des fois c’est bien des ramiers), et ce soir donc avec Sardis et Boubouille, petit concert de ponk rock américain de France, dans une jolie petite salle parisienne.

Comme à son habitude Gribouille est pas super à l’heure donc avec Sardis, on se trouve un petit rade à proximité histoire de se jeter une mousse en attendant. Il est 19h00 le concert envoie à 19h30 donc on est large. L’ami Gribouille nous rejoint, on en reboit une et du coup on arrive un peu en retard. Les Flying Donut’s ont déjà envoyé. On prend en cours mais bordel quelle claque. On pourrait penser que les Vosges c’est un peu la misère sociale, et ben les Flying Donut’s nous prouve le contraire. En fait, Epinal c’est un peu le United States of America de Lorraine. Ça joue fort et bien. Ça enchaîne tube sur tube, la grosse classe !!! Le chanteur a une voix beaucoup plus clair que sur skeud mais ce n’est qu’un détail. On dira ce qu’on voudra les power trios, quand ça joue comme ça : nom de dieu de bordel de merde !!!

Première interlude houblonnée au moment de la pause, on retrouve Weel qui est venu avec un de ses potes, ainsi que Quentin et Symon de Spookshook et l’ami Schnake. On fait une bise à notre bon vieux Dudu-Gravity qui fait ce soir le son des 2 premiers orchestres. On fume des clopes dans l’aquarium, on reboit des bières et arrive enfin le tour des Dead Pop Club.

Je les attendais de pieds fermes parce que sur dixes ça envoie le bousin. C’est carré, propre, ça chante mortel, ça joue bien mais il m’a manqué la petite étincelle pour me foutre assis par terre. Un peu déçu quoi !!! Show plus qu’honorable malgré tout du quatuor parisiens, qui, comme les Flying Donut’s avant eux, nous ont fait l’honneur d’une ou deux petites reprises bien senties.

Deuxième entracte, plus ou moins similaire à la première (bières, clopes, rencontre d’étudiant anglais à Paris bien cool, etc.).

C’est maintenant au UMFM d’envoyer le bois. Bilan « cool – mitigé – plus ». En live, Unco reste quand même une grosse tuerie, mais leurs nouveaux titres m’ont pas mis dingue. La playlist reste quand même sympa. Ça alterne entre vieux tubes et dernier album et à la fin de l’heure on en redemande. Quoi qu’on en dise, les Unco c’est quand même les plus français des Californiens, ou l’inverse je sais plus trop.

Bon concert, chouette salle, jolies serveuses, vivement la prochaine.

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