mardi 18 janvier 2011

The Vertigo Chronicles – Gravity Slaves

Pas toujours évident de chroniquer le nouveau CD de potes tout en restant objectif. De toutes les manières, c’est la ouate que je préfère, et je ne sais pas être objectif dès qu’il s’agit de musique. Alors en un mot comme en cent, ce dixe est mortel. A la première écoute, c’est pas forcément facile. Il est dense bon dieu ce skeud. Ca semble presque décousu. Beaucoup de style différent d’un morceau à l’autre. Y a du rock’n’roll, y a du NYC hardcore, y a du emo pop punk. Et dans les morceaux même, beaucoup de plans. A la première écoute, on a du mal à s’accrocher ça change tout le temps. Mais si on se penche un peu plus dessus, ben ça déboite grave. Plusieurs morceaux sont même de vrais tubes (Big Bike putain de merde !!! ). Plein de belles harmonies de voix partout, mais sans trop en faire. Ca joue pas avec sa bite (même si les trublions adorent ça jouer avec leur quéquettes mais là n’est pas propos). Du gros punk rock des familles, hyper bien produit et super sincère. Qu’on se le dise, Gravity Slaves n’est pas un groupe qui triche, et ce disque en est la preuve. J’avais été moins emballé par Dust, mais alors là, chapeau basque les mecs. Je prends au moins autant de plaisir à écouté cette farandole de brulots qu’avec Come Down, et, comme le chantait Mickey 3D (putain les références), « c’est pas rien de le dire » !!! Pour faire court, un album qui me fout une bonne grosse demi molle, le bon gros morning wood qui te tend l’élastique du caleçon et qui t’empêche de pisser.

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